Dans "les Veillées Des Chaumières"
Mr Albert Perquer propriètaire du chateau en 1875 pris quelques notes sur les mesaventures de L'impératrice d'Autriche Lors de son passage.
Voiçi ce qu'il raconte en 10 04 1897 dans la rubrique "Les Causeries"
Fort jalouse de son incognito, l'impératrice tenait a n'être déranger par personne, elle partageait son temps entre les bains de mer et les promenades a cheval, mais il arrivait parfois que la chevauchée impériale tourne inopinément au steeple-chase et que la souveraine, poursuivant un lièvre a travers les champs, oubliait que certains usages ou privilèges accepté en Autrice, ne sont point tolérés en France. Les bons Cauchois s'émurent a la longue de la voir piquer droit devant elle, sans souci du blé qu'elle foulait et des betteraves qu'elles écrasait. L'un d'eux, plus hardi, se campa sur la lisière de son champ et saisissant le cheval de la souveraine par la bride au moment ou il franchissait la clôture:
-Pardon de l'offense, dit-il, ma bonne dame, mais nous ne voulons point qu'on passe sur notre terre et qu'on piétine nos grains. Retournez s'il vous plait par ou vous être venue.
Il fallut l'intervention de l'écuyer de sa majesté pour apprendre au paysan à qui il avait affaire et l'assurer qu'il serait largement indemnisé. Notre Cauchois, n'en demandait pas davantage.
-Faites excuse, reprit-il, je ne savais pas..A ce compte qu'elle paie la casse, la dame peut bien passait par ou il lui plaira.